BIKUTSI, LADY PONCE ASSOME DEFINITIVEMENT LA CONCURRENCE.

Si la haine envers les meilleurs et les coups bas pour les descendre sont une coutume humaine,  au Cameroun, ce qui est ailleurs un épiphénomène est la règle. Non content de promouvoir la médiocrité, l’amateurisme et la flibusterie, certains ont décidé de faire de la lutte contre l’excellence un mode de fonctionnement et une mission. Ils ne reculent devant rien, mensonge, calomnie, mensonge pour arriver à rabaisser les meilleurs. L’une des  principales victimes de cette guerre contre les meilleurs c’est l reine du Bikutsi, la Diva qui  réussi à imposer un rythme folklorique camerounais au sommet du monde et qui aujourd’hui s’apprête à hisser le drapeau du Bikutsi et partant du Cameroun sur les cimes internationales. Heureusement que le public, le seul vrai juge  en quelque sorte tranché le débat

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Désormais dans le Bikutsi, il y’a Lady ponce et les autres. Il faut être un peu de mauvaise fois pour refuser de le reconnaitre. Déjà qu’artistiquement  elle a démontré quelque chose qui ne s’était jamais vu dans ce couloir de notre industrie du divertissement, de la longévité et de la régularité, un album quasiment tous les deux ans sur une carrière de plus de 12 ans déjà, des hits à la pelle — elle en  à elle seule plus que toutes ses rivales d’aujourd’hui réunies. Mais surtout un vrai plan de carrière pensé avec une structuration professionnelle de son équipe et une gestion professionnelle de ses projets — avec un déploiement conséquent des moyens financiers-- inédits dans le monde du Bikutsi où la mentalité improvisatrice du béti continue à régner en maitresse.  Et les chiffres sont là pour parler pour elle, l’Olympia déjà sold-out,  mais surtout, réussir en à peine deux mois le même nombre de vues sur Youtube de l chanson de ses trois contemptrices réunies (700 000 vues).

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Avec ça elle  son caractère, exige peut-être du respect et n’hésite pas à donner son avis sur des questions politiques, mais cela justifie-t-il qu’on veule la détruire ? En tout cas, elle est désormais au firmament de cet art crée par nos grands mère et rien n’y personne n’y changera rien elle n’est plus une artistes de kermesses et d’anniversaires qu’on invite ne Europe pour venir animer les cassations et les voir-bébé, elle  mais la barre haut, et l seule manière de rivaliser avec elle c’est de l mettre à minima au même niveau. En tout cas, le 12 avril approche espérons que le coronavirus lisser cette orpheline qui  dû arraché sa place dans la cour des grands à force de travail et d’abnégtion jouir de son apothéose.