On a l’impression
qu’en Afrique, tout finit par être un danger et un motif de déviance. Les réseaux
sociaux créer pour les besoins de
ressouder une société occidentale qui allait un peu à la dérive les gens se
coupant les uns des autres, sont devenus le terrain favori des africains où ils
se livrent au quotidien en spectacle tout ça pour faire le buzz.
La mode des sextape
est une de ces pygmalions des réseaux sociaux, qui au quotidien détruisent des
vies et des réputations. Et comme si cela ne suffisait pas, il y’a désormais le
e-commerce du sexe. On le connaissait un peu déjà avec les groupes whatssap Ã
vocation sexuelles, cette fois ci c’est une prostituée béninoise qui vend ses services
en lignes et à visage découvert en publiant des vidéos de ses prestations avec
des clients. S’il faut saluer l’ingéniosité de l’idée marketing, l’objet du commerce
est lui des plus dégradants surtout pour la femme africaine qui était jusqu’ici
symbole de vertu et de dignité. Il est temps que les autorités à l’exemple des
autorités ghanéennes sévissent et mettent fin à ces dérives.
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