Il y’a exactement
un an, l’un des artistes les plus controversés de sa génération mourrait dans
des circonstances tragiques encore non élucidées.
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De l’eau a coulé
sous les ponts, mais la popularité du roi du coupé-décalé semble intouchable et
un peu partout en Afrique, des chansons d’hommages fleurissent, les fans
affichent leur fidélité et certains artistes en perte de vitesse utilisent son
image pour s’offrir de la visibilité. Pourtant l’homme en lui-même était un
ensemble de contradictions, un homme à problèmes qui avait des rapports hyper conflictuel
avec tout le monde. Le Daishikan sera mort tel qu’il aura vécu avec brutalité
et dans la violence.
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Un peu comme pour
faire écho à sa personnalité et à sa
vie, sa famille aujourd’hui est déchirée, entre ses multiples enfants, sa mère
et sa veuve. Le courant ne passe pas, les accusations sont nombreuses et les
querelles interminables. Heureusement que musicalement parlant, un an après, il
fait toujours recette et reste l’un des artistes les plus populaires du
continent.
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