On l’avait déjÃ
constaté avec l’affaire George Floyd, les artistes camerounais, ont une drôle
de tendance à être des suiveurs et des moutons qui courent toujours derrière
les tendances fixées par les autres plutôt que de définir leur propre voie, de
penser et de faire les choses par eux-mêmes. Ils avaient poussé de hauts cris
pour George Floyd, mis en noir leur
PP, observé un Black Tuesday, mais aucun en dehors de Moustik le Karisamatik, n’a jamais ouvert la bouche pour parler du NOSO.
Le plus énervant dans tout ça c’est qu’ils sont les premiers à agiter le
patriotisme et les besoin de soutenir ce qui est le nôtre lorsque ça sert leurs
intérêts.
Comment comprendre qu’alors
que cette seule années, le Cameroun a perdu, coup sur coup, Claude Ndam, Manu Dibango, Nguéa la route,
que plein d’autres artistes camerounais sont morts et tombés dans les
oubliettes, nos artistes soient plus préoccupés par les hommages à Arafat DJ qu’à célébrer leurs
devanciers ? et après ils viendront parler de patriotisme ?
Bien sûr il ne faut
pas mal me comprendre, rendre Hommage à Arafat ce n’est pas si mauvais que ça. mais
ne pas rendre hommage aux icônes nationales, pour se précipiter de faire des
sons en la mémoire d’un ivoirien et revenir après nous dire qu’il faut soutenir
ce qui est camerounais, il y’a problème. Le patriotisme ne peut pas exister
seulement lorsqu’il s’agit pour vous de grappiller des bénéfices
Pour les injures,
je suis au bili-bili à l’esplanade du stade omnisports.
#LemaitreKongosseur
#LeNdem
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