Il n’ya pas
longtemps, la toile toute entière riait jaune devant les minables sommes
versées aux artistes à titres de droits d’auteurs. Si aucune information n’a
filtrée quand à ce qu’ont perçu les artistes de la musique urbaines, rien ne
laisse croire qu’ils ont été mieux traités.
C’est que la
condition de l’artiste au Cameroun est désastreuse, et comme si ça ne suffisait
pas, le ministère dit de la culture vient de se fendre d’une loi qui dans un
certains sens fait passer les artistes de clochards à crève-la-faim.
Heureusement
devrait-on dire que les acteurs de la musique urbaine qui disons le a le vent
en poupe et est aujourd’hui première en terme de temps d’exécution ont songé Ã
se réunir en un syndicat porté par le très charismatique Krotal qui disons le
aura depuis près de 20 ans Å“uvré pour l’émergence et la reconnaissance de la
musique urbaine (qui jusqu’à très récemment n’était pas reconnue comme faisant
partie de notre culture par le gouvernement). Seulement, de telles initiatives,
nous en connaissons des milliers qui sont mortes de leur belle mort au milieu
des détournements et des escroqueries de tous genres. Alors il est logique de
se demander que peut ce nouveau syndicat qui affiche de belles intentions et
s’est déjà mis en branle, organisant
plusieurs manifestations et ateliers mêmes si certains manquements sont
observés à l’instar de la pauvreté de son site web où jusqu’ici il n’ya pas
vraiment grand-chose.
De plus il est
difficile jusqu’ici de mesurer l’adhésion et la sympathie que rencontre le
projet même si nous savons déjà que quelques grands noms de la scène de la
musique urbaines en sont membres
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