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La première puissance africaine est décidée a
conserver son rang et à affirmer son leadership. Le pays est le théâtre de
grand travaux d’aménagements tous plus gigantesque les uns que les autres.
C’est le cas de la construction d’une île
artificielle baptisée Eko Atlantic city, d’après le nom Yoruba de Lagos ‘‘Eko’’, créé par la principale entreprise de travaux
publics et de construction de l'Afrique de l'Ouest, le Chagoury
Group associé à l'État de Lagos dans ce p^rojet
pharaonique, qui doit être financé par des fonds publics et privés.
Présenté
par ses promoteurs comme « le Singapour ou le Manhattan de
l’Afrique », qualifié par l’hebdomadaire Jeune Afrique de plus grand projet immobilier
africain, Eko Atlantic City, d’un cout total évalué à
plusieurs dizaines de milliards de dollars ( 1 milliards de dollars équivaut
sensiblement à 600 milliards de FCFA) doit s'élever sur une île artificielle
de 820 ha de superficie (6 500 m de long et
1 260 m de large). L'axe de la ville nouvelle sera une voie
navigable de 30 m de large qui doit relier trois marinas.
Une fois terminée, Eko
Atlantic City devrait compter
250 000 habitants et fournir du travail à 150 000 personnes.
Pour la mise en œuvre
du projet, « Eko Atlantic
Development » a été créé par la
principale entreprise de travaux publics et de construction de l'Afrique de l'Ouest, le Chagoury Group. L'État de
Lagos est associé au projet, qui doit être financé par des fonds publics et
privés.
La première
entreprise de dragage de Chine, la China Communications Construction,
a commencé les travaux de dragage en 20091. Il
s'agira ensuite de construire des digues de protection sur le périmètre
extérieur pour mettre la ville à l'abri de l'océan.
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