Affaire de la sextape : Martin Camus Mimb appelle ses « confrères journalistes » à l'aide

 

Impliqué d'une manière ou d'une autre dans une vidéo impliquant la jeune Malicka Bayemi, une jeune fille en manque de repère, menacé d'être attaqué en justice avec à la clé le risque de voir ses secrets les plus sombres étalés , dont une partie a déja d'ailleurs fuité, sur la place publique, le PDG de RSI en appelle à la solidarité de corps.

Comment interpréter cet appel auquel certains homme, des artistes notamment qui chantent pourtant tous les jours comment les femmes sont des reines , avaient déjà répondu en amont ? A quel corps fait-il appel, à celui des journalistes ou à celui des patrons , chef, superieurs, enseignants, violeurs et abuseurs qui pratiquent le droit de cuissage dans tous les bureaux sous les yeux de la photo ? Et au nom de quoi lancerait-il ce appel ? Au nom un pacte de sang impliquant défense et assistance mutuelle entre les membres de la ligue des violeurs ?

Et à part les mots, en quoi consisterait ce soutien ? A faire pression sur la petite pour l'inciter à changer sa version des faits comme l'affirment de nombreuses personnes autour d'elle ? A activer les multiples réseaux de harceleurs sexuels des differents ministères et bureaux pour enterrer le dossier ? Monter une contre campagne ? Si on se souvient que le journaliste a d'abord nié les fait alors on est bien en droit de se demander de quoi il a peur.

Cette affaire est doucement mais certainement en train de se transformer pour devenir le procès des abus sexuels auxquels se livrent les hommes sur les femmes dans les bureaux de la république, et le procur