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Invitée sur ABK radio, l’avocate
membre du collectif pour la défense de Malicka Bayemi qui serait pourtant un
proche de Wilfrid Eteki crie son ras le bol.
Invitée dans l'émission ABK Matin, l'avocate de Malika Bayémi, la fille exposée
dans la sextape qui a été tournée dans les bureaux de Martin Camus Mimb, a
crié son ras-le-bol face au blocus qui pèse sur l'affaire au niveau du Tribunal
de première instance de Douala par des proches de Martin Camus Mimb qui n’avait
justement pas fais mystère de ses hautes relations au début de l’affaire.
Pointés du doigt par l'avocate, le réseaux proxénète du groupe whatsapp « on déconne un peu » qui comprendrait pas moins de 13 ministres et 27 député, lesquels semblient être les destinataire de la vidéo de Malicka et qui font tout pour que toute la lumière ne soit pas faiote sur cette sordide affaire.
D’un autre côté,
Malicka qui est suivie par un psychologue suite au traumatisme de voir sa
nudité exposée ainsi, serait l’objet de menaces de mort venant des supporters
de Martin Camus Mimb qui ne manquent pas. Des menaces de mort auraient également
été proférées à l'endroit de Me Fousse,
la cheffe du conseil d'avocats de Malika Bayemi.
A titre de rappel, le
16 juin dernier, les vidéos et les photos d'un couple en train d'avoir des rapports sexuels, principalement d’une fille ensuite identifiée comme MalickaBayemi faisaient irruption sur la toile. Quelques heures après, on découvrait
que les images avaient été tournées dans les bureaux du Directeur général de
RSI Martin Camus Mimb, qui dans un premier temps va affirmer ne pas connaître
le couple, avant que des recoupements et l’exploitation de la vidéo ne permette
de le confondre.
Depuis là, Martin Camus Mimb, plongé dans la tourmente, a pris congé des réseaux sociaux et même de la scène publique. Entretemps, il aura perdu la plupart de ses amis et soutien.
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