Pour la journaliste, le rappeur qui jadis vivait aux crochets de Samuel Eto'o n'est plus dans la critiques mais dans l'acharnement.
"Je ne suis pas de ceux qui pensent qu'il faut lécher une main à vie pour une aide ou devenir un/une béni (e) oui oui mais il y'a des limites quand une personne vous a apporté un soutien personnel, privé quand même! ça s'appelle de la GRATITUDE et la DECENCE simplement.
Y'a des limites"a-t-elle écrit sur sa page Facebook.
Rappelons que Valsero est au centre de toutes les attentions après qu'au cours d'une interview sur Canal 2 Samuel Eto'o ait révélé que pendant 2 ans il lui payait 5000 euros par mois.
Si certains ( le plus souvent des gens de son bord politique) le soutiennent plusieurs personnes on souligné le caractère volatile du rappeur notamment Jovi.
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