Une faction de la famille publie un programme des obsèques aussitôt rejeté par les ayants droit du chef de chaîne d’Amplitude FM.
Décidément dans sa vie comme dans sa mort Martinez Zogo aura été un homme à part. Sa mort n'a pas fini de diviser que ses obsèques posent déjà problème. D'un côté sa demi-sœur Moungou Crescence et Bessala François son oncle maternel, accusés d’être soutenus par FÉLIX ZOGO, le Secrétaire général du ministère de la communication, et HENRY EYEBE AYISSI Le ministre des domaines et des affaires foncières, qui ont annoncé les obsèques pour le 1er Avril 2023.
De l'autre ses ayants droits légaux représentés par Arlette Diane ZOGO et Flore Germaine MESSINA ZOGO épouse PORTAUD, l’epouse et la sœur de Martinez qui n'entendent pas enterrer le journaliste avant les conclusions de l'enquête.
Pour leur part, les communicateurs parmi lesquels des proches de Martinez comme Ben Benji de Benji, qui annonce un blocus à l’hôpital central de Yaoundé pour le 31 mars date prévue pour la levée de corps, ne veulent même pas entendre parler de ces obsèques. On est donc en droit de craindre des affrontements en marge des obsèques du journaliste.
Il est à noter que jusqu’ici rien n'indique que les scellés sur le corps de Martinez Zogo aient été levés. Il paraît donc un peu compliqué de prétendre organiser des obsèques.
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