Suite à sa fulgurante victoire contre Jordan Zebo au PFL Paris le samedi 30 septembre, Cédric Doumbé a lâché une véritable bombe. Le combattant a accusé Ferland Lopez, son ancien entraîneur et coach de son adversaire du soir, de violences conjugales.
"Vous savez très bien qui a pris ce KO, ce n'est pas Jordan. Celui qui a pris ce KO c’est celui qui frappait son ex-femme", a-t-il lancé dans la cage. "Ce sont les violences faites aux femmes que je mets KO, c’est celui qui frappait sa femme quand j’étais dans sa salle. Voilà la raison pour laquelle j’ai quitté cette salle. C’est quelque chose que j'ai vécu au téléphone en live. J’ai appelé la police et la police est intervenue", a-t-il ajouté par la suite.
Suite aux déclarations de Cédric Doumbé, Fernand Lopez a pris la parole afin d'évoquer ces accusations et sa condamnation de quatre mois de prison avec sursis. "Mon geste est inexcusable. Un être humain, un homme ne lève pas sa main sur une femme. Un jour, j'ai commis ce geste. Le geste que je regrette le plus de toute ma vie", a-t-il confié dans les colonnes du Parisien. L'interview de l'entraîneur n'a pas échappé à son ex-femme, qui a décidé de sortir du silence. Sur les réseaux sociaux, Cécile Giornelli a tenu à rétablir sa vérité et n'a pas hésité à charger son ancien conjoint. "Je reste muette et tranquille depuis toute ces années, force est de constater qu'on me salisse encore et qu'on m'invente encore une vie (...) On ne prend pas quatre mois pour une gifle. Tout n'est que mensonges, victimisation, retournement de situation, manipulation des masses et utilisation de sa force de frappe médiatique que je n'ai jamais eue et n'aurai jamais. Il le sait et en joue", a-t-elle commencé en story Instagram.
Très remontée, Cécile Giornelli reproche à son ex sa version des faits et lui reproche de vouloir la faire passer pour une femme violente. "À l'époque, je me pensais folle tellement mon cerveau avait été retourné. Et j'en ai juste ASSEZ ! Ces agissements en toute impunité doivent cesser. Que ce soit clair: je ne veux pas étaler ma vie privée en public. Mais, la victime c'est moi plus ma fille qui a tout vu. Et je refuse qu'on me fasse passer pour une femme violente et que la situation aurait 'dérapée'. C'est faux", lance-t-elle. L'ancienne compagne de Fernand Lopez revient ensuite sur les faits de violences, en entrant dans les détails. "Je fais partie des gens qui 'freeze' en cas de danger, j'ai eu zéro réaction si ce n'est subir les coups. Nous sommes tous des combattants, vous savez tous que c'est le pire des réflexes néandertaliens. Quand je perds connaissance, et à deux reprises, ce sont les pleurs de ma fille qui me 'réveillent'. Donc non, ce n'était pas une gifle, non, nous n'étions pas un couple violent", a-t-elle ajouté.
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